Ca ressemble à des foires ancestrales que nous connaissons.
Mais c’est bien l’Amérique. Avec les gens qui parlent américain et ceux qui parlent espagnol.
Apparemment en bonne entente. Mais qui sait ?
Ce pays, c’est aussi celui de Charlottesville…
Le rodéo commence par les annonces publicitaires: des drapeaux des sponsors brandis par des cow-girls sur leurs chevaux.
Et puis c’est le salut au drapeau américain, porté par une cow-girl; tout le monde tête nue, la main sur le coeur; avec un discours sur la grandeur de l’Amérique et ce que chacun doit au pays; puis tout le monde entonnant l’hymne américain.
Pas ridicule du tout ce moment; impensable en France; trop la honte d’être taxé de nationaliste… et pourtant…
Notre pays n’est pas parfait; loin s’en faut; mais quand on part loin comme ça, on peut réaliser qu’il a du bon, que pour beaucoup de choses nous pouvons en être fiers aussi; sans pour autant adhérer à tout, et notamment à tous les choix de nos gouvernants.
Nous aussi, nous devons quelque chose à notre pays, qui éduque, qui protège les plus démunis, encore une fois avec beaucoup d’imperfections. Notre système est perfectible, tant au niveau de ses manques qu’au niveau de ses excès, mais il n’est pas si mauvais.
Le regarder de loin, et notamment d’ici, permet de relativiser bien des choses.
Plusieurs parties dans ce rodéo; ci dessous, il s’agit de sauter sur la bête et de la retourner.
Là, travail à deux lassos; un des cavaliers pour la tête et l’autre pour les pattes.
Ici monte d’un étalon rendu furieux par une sangle qui lui compresse les … et qui n’a de cesse de s’en débarrasser bien sûr.
Ici c’est un étalon, mais on fait subir le même sort à un taureau.
Ces cow-boys ont vraiment du cran.
Les filles ne sont pas en reste avec une épreuve d’habileté autour de barrels (tonneaux).
Impressionnantes !!!